Il menace un magasin de vélo avec des disques !
Nouveau coup dur pour le développement des freins à disques sur le vélo de route. Un homme a récemment menacé un gérant de magasin avec des disques. Un évènement tragique qui prouve bien la dangerosité de ce système de freinage !
Simon Melin a eu peur !
Ce samedi 31 mars à 18h47, un homme cagoulé et armé de deux disques de 160mm a fait irruption dans le magasin de vélo Dvélos d’Aix les Bains. Cet homme s’est immédiatement précipité sur Simon Melin, gérant, pointant un disque sous son cou ! Il restera plus de 10 minutes forçant Simon à commander tout le stock disponible de vélos de route à patins restant chez un constructeur Américain via une plateforme internet ! C’est la vue des lumières de police qui a fait fuir l’agresseur.
Simon raconte : « J’ai eu très peur car je sais la dangerosité d’un disque et imaginait qu’à chaque instant je pouvais y laisser ma vie ! Je me suis donc exécuté sans discuter. Les clients n’aiment pas le frein à disque sur les vélos de route. Je crains une récidive de nombreux cyclistes. J’étais moi-même très gêné lorsqu’il a fallu commercialiser des pédales automatiques. Les gens chutaient et n’arrivaient pas à déchausser. Nous avons eu la chance que l’industrie passe en force et fasse accepter le système.»
Un agresseur connu des services de police
L’agresseur a été rapidement arrêté par les forces de l'ordre. Cet homme d’une cinquantaine d’année, dont nous ne pouvons dévoiler son identité, est bien connu des services de police. En effet, il avait déjà agressé un magasin de vélo, il y a quelques années, au moment de l’arrêt en masse des étriers V-Brake sur les VTT. Il avait également forcé un garage automobile à démonter les disques de sa voiture au profit d’un montage artisanal avec tambours.
L’association draisienne libre militante !
L’agresseur fait partie du bureau de l’association militante « Draisienne libre ». Les bénévoles sont activement présents sur les courses cyclosportives avec des draisiennes. Leur leitmotiv est un retour à la bonne vieille technique de frein employée lorsque nous étions enfants : « Rien en vaut un pied sur le pneu pour ralentir le vélo ! ». Cette structure avait d’ailleurs tenté une fusion avec l’association « L’électrique c’est artificiel !» mais de nombreuses mésententes liées à l'éclairage avaient fait échouer le projet.
Les marques montrées du doigt
Le marketing au cœur du problème encore une fois. Sans aucun doute les grandes marques qui contrôlent le secteur comme Shimano, Campagnolo ou encore SRAM innovent perpétuellement afin que le cycliste consomme. 9, 10, 11 puis bientôt 12 vitesses, des transmission électroniques plutôt que mécaniques, une hérésie dirons beaucoup discrètement.
Un bon moyen de vendre avec de nombreux profits. Les fabricants de roues, intégrant désormais du carbone plutôt que l’aluminium, mais également les constructeurs de cadres ayant délaissé l’acier. Tout ceci pour optimiser le profit, faire envie aux cyclistes de vélos toujours plus légers alors qu’il suffirait simplement de perdre du poids physiquement !
Top Vélo au banc des accusés
Nous sommes sans doute au début d’une histoire dévoilant au grand jour un scandale de corruption de la grande presse spécialisée. En effet, Michaël Carminati rédacteur en chef adjoint du très sérieux et qualitatif magazine Top Vélo à toujours vanté les mérites des freins à disques sur les vélos de route.
Des propos visiblement tenus uniquement suite au versement en liquide de 100 000 euros par les marques Japonaises, Taiwanaises et Américaines influentes sur le secteur. Des affirmations probables selon l’avocat de la partie civile, Maitre Fougnasse. « Top Vélo s’est rapidement développé et pour une telle qualité de rédaction, de créativité et d’imagination, il faut de grands moyens. Nul doute qu’une caisse noire a été utilisée ! »
Salvatore Lombardo, rédacteur en chef de Top Vélo, que l’on sait très proche des marques Italiennes, crie à la calomnie. « C’est un scandale. Je milite moi-même pour le retour des leviers de vitesses sur le tube supérieur du cadre. Je suis un puriste ! »
Le détournement de l’utilisation des disques
Des experts alertent désormais sur le détournement des rotors à destination d’autres utilisations. Preuve de la dangerosité et pour exemple, nous avons pu trouver au fond du Vercors deux bucherons ayant conçu des tronçonneuses artisanales avec des disques en lieu et place de la chaine servant à tronçonner.
« Avec le manque de neige en station ces dernières années, la crise est passée par là. Le disque étant moins cher à entretenir qu’une chaine et d’une efficacité meilleure pour couper, nous utilisons désormais celui-ci sur nos tronçonneuses pour couper les plus gros troncs. » raconte Frank H, bucheron au service de la municipalité d’Autrans-Méaudre.
Les spécialistes avaient raison !
François expert en vélo de route du très sérieux magazine le Bicyclou avait déjà noté beaucoup d’éléments dangereux de la sortie du freinage à disques sur les vélos de route. « J’ai testé et retesté ce système devant chez moi une centaine de fois. J’avais alerté de la dangerosité au niveau des disques »
Benjamin, blogueur spécialisé dans le vélo de route avait également prévenu : « Je n’ai roulé qu’une fois les freins à disques. Je n’ai pas vu l’avantage. Je roule plutôt pépère en mode cyclotouriste. Mais comme les coureurs professionnels disent que c’est dangereux, il m’a semblé important de relayer cette information ! »
Cette agression pourrait être le début d’une longue série en magasin compte tenue de la virulence des propos de nombreux cyclistes n’ayant pas encore essayé les freins à disques. Des utilisateurs victimes de toute une industrie qui force à imposer un système de freinage reconnu dangereux et inutile ! Preuve étant !
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