Vous faites parti de ces quelques français (très peu) qui pratique le cyclisme par passion mais qui ont un vrai travail avec des horaires dignes de ce nom. Vous vous demandez comment fait votre ami pour passer la moitié de ses journées sur un vélo alors que votre souhait le plus cher pour la nouvelle année est que les journées durent au moins 28 heures ?
Plusieurs solutions s’offrent à vous :
1 . Changer de travail et être pistonné dans la fonction publique. (France Telecom à proscrire en ce moment)
2. Travailler dans de grosses boites au fonctionnement moderne et ultra performant ou personne ne s’aperçoit de votre absence.
3. Etre ami avec un docteur
4. Lire Nutri-cycles.com
Vous cumulez trois de ces solutions : Venez dans notre team !
Trêve de plaisanterie, nous avons pensé à vous. En effet, vous êtes nombreux à penser que pour progresser, vous devez accumuler les kilomètres et donc avoir une activité professionnelle en conséquence. Il existe en effet une relation étroite entre le volume d’entraînement et les performances chronométriques réalisées.
De nombreux cyclosportifs nous posent souvent la question suivante : ‘’Je roule depuis tant d’années, à raison de x fois par semaine. Je participe, chaque saison, à quelques cyclo, avec à la clé des performances honorables mais que j’aimerais encore améliorer. Or, je me demande si je vais un jour y parvenir. En effet, pour raisons familiales et professionnelles, je ne peux consacrer que peu de temps à mon entraînement. Quel est votre avis sur la question ?’’
Afin de comprendre comment progresser en s’entraînant ‘’peu’’, il est essentiel, dans un premier temps, de totalement saisir les principes de base qui régissent le fonctionnement de notre organisme et sa capacité d’adaptation (donc de progression). Cette connaissance préalable permettra d’éviter de nombreuses erreurs, erreurs malheureusement commises par la plupart des cyclo.
>> Lire notre dossier : S’entraîner quand on manque de temps